Anthologie personnelle illustréePREssionAnthologie personnelle illustrée par Flavie Giguère
« Marie-Josephte ne savait pas si ses enfants étaient présents dans la foule. Elle ne le souhaitait pas, mais s’ils y étaient, elle tenait à ce qu’ils la voient debout, telle qu’ils l’avaient toujours connue. » Monique Pariseau | « La fiancée du vent » | 2003ExplicationDans cet extrait, Marie-Josephte montre sa force intérieure sans fin. J’associe cette image à cet extrait, car selon moi, elle ressent quand …afficher plus de contenu…

À mes yeux, Marie-Josephte était une femme pleine d’ambition opprimée par les règles sociales de l’époque. Elle aimait la vie et son mari lui enlevait toute beauté qu’elle pouvait trouver dans sa réalité. Libéré, mais à la fois contrarié par la justice terrifiante des meurtriers de l’époque. Elle osera garder la tête haute jusqu’à la fin souhaitant le meilleur à tous même les plus malveillants à son égard. J’apprécie prendre ses réflexions et les transmettre dans ma vie personnelle et les utiliser pour continuer d’évoluer de manière bienveillante. J’ai toujours essayé d’aborder la vie de façon positive et de ne pas trop être dure avec les autres. J’essaye de me soucier de mon bonheur avant celui des autres, mais tout …afficher plus de contenu…

Accrocher à la peau à l’aide d’un pansement, elle reflète la guérison qu’apporte l’amour. Sur le revers de la main, elle est difficile d’accès. Les fleurs démontrant la fragilité de l’amour et à la fois sa gracieuseté. Dans l’extrait, les fées blanches donnent à Ludivine ce qui reste de beau dans sa vie, l’amour. Malgré sa misère, il reste encore quelques espoirs d’être aimée. Relié au mal, les fées noires essayent de pourrir la vie de Ludivine alors que les blanches tentent de la réconforter dans ce qui lui reste. Je pense que cela représente bien les différentes étapes de la vie où certainement quelques-unes seront ardues et demanderont qu’on se surpasse, mais d’autres nous amèneront de la bienveillance et de la joie.« Ces deux pauvres déshérités de la vie, du bonheur et de l’amour n’avaient même pas eu le triste privilège de se trouver réunis dans la mort, sous le même tertre, dans un coin obscur du même cimetière.