Les lettres Persanes, Lettre 30, « Comment peut on être persan ? », Montesquieu

Introduction :

Montesquieu (1689-1755) magistrat et écrivain français que les études destinaient à être parlementaire il voyage beaucoup. Il est l’auteur de nombreux mémoires, de romans parmi lesquels : Lettre persanes (1721), de Pensées et d’ouvrages d’analyse tel que De l’Esprit des Lois. Les Lettres Persanes est un roman épistolaire écrit en 1721. Les deux personnages sont persans : Uzbek et Rica. Ils ont quitté la perse pour se rendre à Paris et y découvrent les parisiens, leurs opinions politiques et religieuses. Sentiment d’étonnement éprouvé. Ils restent huit ans à Paris d’où ils écrivent à leurs amis
Dans cette lettre Rica se trouve dans les rues de Paris et il est habillé en Persan ce qui attise la curiosité des Parisiens.

I. Persan centre d’intérêt :

Lorsque le persan arriva à Paris il fut surpris par la curiosité des parisiens « je fus regardés comme si j’avais été envoyé du ciel » il est comme une star face à la foule « tous…me… » il évoque comment il a vécu cette popularité avec l’anaphore « si j’étais » il se décrit comme un spectacle, il se sent mal à l’aise. On trouve un champ lexical du regard de façon indirect et direct qui montre la curiosité du parisien. Le temps du récit est au passé simple car sa s’est déjà passé, on trouve aussi la forme passive cela montre que le persan subit l’action. Il dit qu’il y a « un arc en ciel « mais c’est une hyperbole qui montre le nombre de personnes différentes. A des moments on a du discours direct c’est lorsque les parisiens parle. C’est une critique des parisiens car ils sont trop curieux. Le persan fait ensuite un bilan « enfin jamais homme n’a été vu comme moi ».
Ensuite c’est une autre phase du persan qui va se mettre en place.

II. La réflexion :

Le persan essaye de comprendre pourquoi tant de succès, il est très naïf lui aussi, et il finit par prendre une décision « cela me fit résoudre ». Il