Aujourd'hui, les crises font parti de notre quotidien. Ce point de rupture brutale entre l'offre et la demande est constitué de fluctuations économiques conjoncturelles qui ont des effets sur la croissance du PIB. Au cours du 20ème siècle, à eu lieu deux crises majeurs, celle de 1929 et 1973. La plus récente est celle de 2008, au cours du 21ème siècle, qui à été une phase de contraction de l'activité économique qui à débouché sur la hausse du chômage, et par conséquent une baisse du niveau de vie. C'est pourquoi nous pourrons nous demander de quelle manières, la politique menée par l'état sur le plan budgétaire réduit-elle les conséquences de la crise des subprimes? Dans un premier temps nous analyserons les conséquences de cette crise financière, puis dans une seconde partie nous étudierons l'intervention de l'État avec une politique budgétaire pour réduire ces effets.

1. Les conséquences de la crise

Toutes les crises non pas forcément les même causes et les même conséquences. La crise des Subprimes, de 2008 est plus importante que celle de 1929 car il y a plus d'argent en jeu. Les objectifs de croissance potentielle sont revu à la baisse. Le document 3, nous le prouve avec l'évolution du PIB et sa croissance par an. Selon Alternatives économiques, en 2011, l'Allemagne avait une croissance effective de 2,8 % et une variation de son PIB par trimestre toujours positif. Quant au Japon, il à connut une baisse de sa croissance de 0,9 % malgré un premier trimestre, en 2010, très élevé. Tout d'abord, cette crise immobilière à eu des effets sur l'économie réelle notamment avec une dépréciation de la valeur du patrimoine et de l'épargne. Ensuite ce « krach » est devenu financier avec une baisse des actifs, des valeurs mobilières (action, obligation). Elle est devenu aussi une crise bancaire, qui se traduit par une baisse de l'offre des crédits accordés dû à l'insolvabilité des emprunteurs et à la méfiance des banques, qui à entrainé une baisse de