Les femmes sont-elles prisonnières de leur identité ?
La femme doit avoir des enfants cela est une norme social et si une femme n’a pas d’enfant elle est alors dite de méchante femme , de femme malade ou bien de femme folle. Élisabeth Badinter rapporte la situation de la maternité au 17 et 18ème siècle. Elle partage dans son œuvre le fait que les femmes du 17ème abandonnent leurs enfants dès le plus jeûne âge à des nourrices car elles ont besoin de ne plus se définir comme femme épouse ou femme mère. Au 18ème, ces «précieuses ridicules» comme les désignait Molière, commencent alors à construire une route pour l’émancipation féminine notamment en devenant des femmes savantes et les premières à refuser la …afficher plus de contenu…
Sur cent une mesures inscrites, 80 sont retenues par le gouvernement, afin de «conduire progressivement la moitié des Français au niveau de formation, de rétribution, d'intégration à la vie sociale et économique et de responsabilités où se trouve l'autre». En 1975, Françoise Giroud sait que ces mesures aboutiront sur le long terme. Après 10 mesures programmées elle décide de quitter ses fonctions. Toutes ces militantes ont changé la vie quotidienne des femmes par leurs actes et par leur conviction, ce qui fait d'elles de véritables modèles pour les jeunes filles et les femmes, elles donnent envie de changer les comportements face à la domination masculine. En conclusion, les femmes sont prisonnières de leur identité à cause de la société qui les enfermes dans des catégories péjoratives, on attend des