L1 S2 Thème 1 GR 01Travaux DirigésInstitutions PolitiquesThème 1 :Les modes de scrutinRéalisé par ARBEY Kurtis, DEROUICHE Rostan, DIALLO Idiatou, DURANT Lucie, BAKHAOUCH Nisrine « Il n’y a pas de bonne loi électorale » déclarait l’ancien président de la République, François MITTERRAND dont les deux mandats présidentiels ont duré 14 ans du 21 mai 1981 au 17 mai 1995. En effet, les systèmes électoraux ont tendance pour la plupart à mener à une surreprésentation …afficher plus de contenu…

Ceci a pu être possible grâce au mouvement féministe de femme d’honneur et de conviction tel que les suffragettes ainsi qu’au conseil national de la résistance qui ont permis suffisamment de résistance à travers tout le pays pour convaincre Charles de Gaulle de l’urgence à leur accorder le droit de vote. De cette façon, les femmes participent à leurs premières élections municipales d’avril-mai 1945. La révision constitutionnelle du 6 novembre 1962 pour l’élection du président de la République française a instauré le suffrage universel direct, plus clairement dit les citoyens vont voter directement pour les représentants qu’ils souhaitent voir élus. Enfin depuis 1974 l’âge de majorité, plus précisément l’âge du droit de vote, est passé de 21 ans à 18 ans. Pour mieux appréhender notre étude, il est également nécessaire de connaître les différents modes de scrutin en France. Il existe trois systèmes électoraux en France, tout d’abord le scrutin proportionnel, …afficher plus de contenu…

Lors des élections législatives qui ont suivi, le parti de Macron a perdu sa majorité et les forces d'opposition divisées ont organisé une reprise partielle. Plus particulièrement, le « front républicain », qui avait jusqu'alors limité l'accès du Rassemblement national d'extrême droite aux mandats électifs, s'est effondré. Il c’est pour cela qu’il existe une certaine transformation et la déstabilisation du système de partis français à travers le prisme du système électoral français. La victoire attendue d'Emmanuel Macron contre Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle d'avril-mai 2022 confirme la mort du système de partis d'avant 2017. Aux législatives de juin,