Lettres- le dimanche de la vie
Valentin Brû, est soldat de deuxième classe depuis 5 ans. Julia Ségovie, elle, le voit passé tous les jours devant sa Mercerie, et elle se prend de passion pour le jeune soldat. Elle soutient à sa sœur qu’elle l’épousera. Alors, Chantal Brélugat, sa sœur, va se renseigner pour elle afin de connaître l’identité du soldat.
Le Sergent Bourrelier, Supérieur et ami du jeune homme en question, lui apprend qu’il s’appelle « Valentin Brû ». Valentin, revenu dans le civil, dit qu’il veut devenir balayeur. Mais c’est là que Bourrelier, lui parle d’une femme qui désire l’épouser, et qui de plus possède un commerce qu’il pourrait faire tourner. Il épouse donc Mademoiselle Ségovie, « Ça ne fit quand même pas un pli. Trois mois plus tard, ils étaient mariés, l'ancien soldat Brû et la mercière. » Vers 1936, le couple monte à Paris. Valentin ouvre une boutique d'encadrement pour photographies tandis que Julia tout en le cachant à son mari s'improvise voyante extralucide sous le nom de Madame Saphir.
Le Dimanche de la vie c’est une relation spéciale entre une dame d’âge mur, et son mari, de 25 ans plus jeune qu’elle. Julia, est très jalouse et se comporte avec son époux comme si il était un enfant. On rit, parfois. Et à d’autres instants on est plus perplexe. La relation dépeinte dans ce livre est un peu, hors normes.
Salvador Dali, Les montres molles.
Cette montre, molle, cassée, qui part en morceaux, me faisait beaucoup pensait à l’œuvre de Raymond Queneau, Le Dimanche de la vie. Car on associe la montre au temps et dans cette œuvre, on est constamment en attente. Valentin Brû qui est un ancien