Lettres Persanes lettre CXXII (122)
Charles Louis de Secondât, dit Montesquieu, est un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières, né le 18 janvier 1689 à La Brède (près de Bordeaux) et mort le 10 février 1755 (à 66 ans) à Paris.
Jeune homme passionné par les sciences et à l'aise avec l'esprit de la Régence, Montesquieu publie anonymement les Lettres persanes (1721), un roman épistolaire qui fait la satire amusée de la société française vue par des Persans et met en cause les différents systèmes politiques et sociaux, y compris le leur. Il voyage ensuite en Europe et Angleterre il observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique. De retour dans son château il se consacre à ses grands ouvrages qui associent histoire et philosophie politique : Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et De l'esprit des lois (1748) dans lequel il développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes, appelée postérieurement « principe de séparation des pouvoirs ».

De la lettre 113 a 122 c’est une réflexion de montesquieu sur la sociétés, les populations, les mœurs.
Lettre 122 les propos de montesquieu servent un idée progressiste car il emploi une demonstration vigoureuse sur la pensée, la structure de cette pensée et surtout la force. Il parle aussi d’un vision moderne des sociétés, avec une idée de progret. Il parle des pays ou les chatiments sont modérés. Il explique que dans ces pays ont crains d’autant plus les chatiments, comme dans les pays ou ils sont tyrannique. On est conduit par nos besoins pour bien vivre, il y’a une forte natalitée dans les pays. Les enfants cependant vivent bien sans que les parents soient forcer de ce sacrifier pour eux. Dans les pays doux il y’a une notion d’egalitée, liberté il y’a une certaine oppulence qui produits l’egalitée dans les fortune, dans les