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Prévention :
Le rôle du Service externe pour la Prévention et la Protection au Travail (SEPPT)
Un diagnostique de stress au travail peut être initié dans deux situations.
1er : Médecin du travail qui signale une problématique récurrente de stress au conseiller en prévention interne de l’entreprise et à la DRH. Suite à cette info, l’ent sait où se doute de ce qui génère du stress, soit c’est l’étonnement et elle peut demander un audi de stress.
Avec l’ent, le SEPPT va évaluer si le moment est opportun pour réaliser un diagnostique : en effet, une restructuration, un accident de travail entraînant un décès sont des déclencheurs de stress ponctuels qui vont fausser les résultats.
2ème : L’audit de stress est demandé par l’ent, souvent via le comité de prévention et de protection au travail (CPPT). En effet, cela s’inscrit dans le cadre de l’obligation légale pour l’employeur de prévenir les risques de « charge psychosociale » occasionnée par le travail, dont le stress fait partie. Dans cette perspective, celle-ci souhaite réaliser une analyse de risques en matière de stress.
Une première rencontre a lieu entre l’ent et le SEPPT afin de connaître le contexte et de déterminer le modus operandi.
Dans un premier temps, des séances d’informations générales et de sensibilisation sont organisées pour tous les collaborateurs.
Des workshops peuvent être organisés avec la ligne hiérarchique pour favoriser l’interactivité et surtout pour que les personnes puissent s’exprimer sans crainte et en toute confidentialité.
En fonction de la problématique, l’ent et le SEPPT décideront de soumettre un questionnaire aux travailleurs ou utiliseront une méthode plus participative, telle qu’un brainstorming structuré selon une méthodologie précise. Le choix des participants est alors très important afin que les résultats soient représentatifs.
Très utile dans certain cas, la technique de