En quoi le recueil des mains libres pourrait-il être qualifié de jeu d’ombres et de lumière ?

I- L’idée platonicienne de la lumière
« L’aventure » - Mythe de la caverne
L'allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. Elle expose en termes imagés les conditions d'accession de l'homme à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance.
Lumière comme un éclair qui suscite un nouveau départ, symbole de création, d’accès a la vérité.
Présence du temple grec illustre la sagesse.
Allégorie de la vérité – femme qui sort d’un puits (présence féminine)

II- Ombre comme symbole de la mort et de l’obscurité
« Le tournant » - l’ombre suggère une présence inquiétante dans le dessin.

III- Renversement de l’image de l’ombre
Remise en cause de la tradition : l’ombre comme symbole de vie et de protection et la lumière destructrice.
« L’arbre-rose » - ombre protectrice : image d’un paradis terrestre dans lequel l’ombre devient le principe du locus amoenus (lieu plaisant, generally refers to an idealized place of safety or comfort) puisque les deux figures qui peuvent ê comparées a Adam et Eve trouvent refuge dans cet aplat obscur.
« Les tours du silence » - les ombres tentent d’exister « ils voudraient avoir un corps », « ils voudraient avoir une ombre ». Or la lumière va les éteindre, les éliminer  « encore une chute de clarté/ Et les pierres seront soleil »
La lumière tue, élimine et l’ombre donne la vie.

« Il est devant un poème comme le poète devant un tableau. Il rêve, il imagine, il crée »

I- Le rêve
L’onirisme dans l’œuvre

II- L’imagination
Opposition au réel et au concret
Liberté et fantaisie

III- La création
Invente, renouveau