PPO n°1 : Louise-Michel pendant la Commune de ParisLouise-Michel est née en le 29 mai 1830 à Haute-Marne en France, fille d’une servante. Son grand-père, Etienne-Charles Demahis, ancien avocat sous l’Ancien Régime, lui donne une culture classique, avec principalement l’héritage des Lumières. Elle reçoit une instruction solide, une éducation libérale et présente dès son jeune âge, un caractère altruiste. Elle devient institutrice en ouvrant plusieurs écoles libres (en refusant de prêter serment à …afficher plus de contenu…

Louise-Michel, alors faisait partie du Comité de Vigilance de Montmartre (association politique très active pendant la Commune de Paris) est très active dans la Commune. Etant ambulancière, propagandiste, garde et combattante, elle anime également le Club de la Révolution.
Cette femme est active par plusieurs moyens, plus ou moins violent… En effet, Louise-Michel n’hésite pas à prendre les armes pour défendre ses idées, comme par exemple, le 22 janvier 1871, en habit de garde nationale, elle fait feu sur l'Hôtel-de-Ville lors d'une manifestation. Elle et les révolutionnaires les plus radicaux pensent qu’il faut dissoudre le gouvernement d’Adolphe Tiers en lançant une offensive à Versailles et se propose pour tuer Adolphe Tiers …afficher plus de contenu…

Devant le tribunal, elle revendique fièrement les crimes dont elle est accusée et réclame la peine de mort « Si vous n’êtes pas des lâches, tuez-moi ». Ce qui lui vaudra le surnom de « Louve rouge » ou « Bonne Louise ». Elle est condamnée à la déportation en 1873 à cause de sa participation active dans la Commune de Paris en Nouvelle Calédonie. Elle y deviendra anarchiste (Conception politique et sociale qui se fonde sur le rejet de toute tutelle gouvernementale, administrative, religieuse et qui privilégie la liberté et l'initiative individuelle) en côtoyant Nathalie Lemel, également une animatrice de la Commune de