Nous allons étudier un extrait de Lucien Leuwen de Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle, est un écrivain français. Il occupe une très grande place dans la littérature du XIXe siècle. Ses œuvres sont écrites au moment du romantisme avec une littérature plus ancrée dans le réalisme. Dans ce texte, nous allons analyse dans quelle mesure le narrateur laisse t-il entendre au lecteur que malgré les apparences cette scènes est belle et bien une rencontre ? Nous étudierons dans un premier temps, que Stendhal demeure focalisé sur le point de vue du personnage principal et les couleurs qui l’entoure et pour finir, nous démontrons que cette scène est une rencontre entre deux personnes. Au début de cet extrait, nous voyons que le personnage principal Lucien est très négatif sue le paysage de la ville de Nancy, « Les rues étroites, mal pavées, remplis d’angle et de recoins, n’avaient rien de remarquable qu’une malpropreté abominable.. », sauf pour « les jeunes ouvrières en dentelle se montrèrent à toute les fenêtres » pour le défilé. Au fur et à mesure qu’il défilé, il s’apercevait que « ces gens pensent qu’à l’argent ». On remarque, que le narrateur insiste sur la description du défilé et de la ville surtout les couleurs, « vêtus de rouge et montés sur des chevaux blancs.. », « vert perroquet « , « les habits rouges »…
On constate qu’au début du texte Stendhal ne met pas en valeur une scène de rencontre, les circonstances sont inappropriées pour que Lucien face une rencontre pendant le défilé. Pourtant, la rencontre s’effectue, puisqu’il voit une femme a sa fenêtre qui correspond à « quel choix de couleurs voyantes ont ces marauds de provinciaux ».
Puis Lucien aperçu une « belle jeune femme blonde qui avait des cheveux magnifiques » « d’un blond centré » et « l’air dédaigneux ». Pendant un instant le jeune garçon n’avait plus d’idées tristes seulement ce magnifique visage, Lucien trouva « dans ses yeux une expression singulière ». « Elle pouvait avoir