INTRODUCTION
L’extrait présentée est le chapitre deux, de la première partie du livre Madame Bovary de Gustave FLAUBER, un des grands écrivains réaliste, datant de 1857. Il y est raconté la rencontre de Charles Bovary et Emma, en une description du lieu, mais surtout de la jeune femme qui séduira immédiatement ce dernier. Comment Flaubert, utilise-t-il le réalisme pour montrer que Charles est séduit ? Pour répondre a cette question nous montreront l’intérêt de l’auteur a nous décrire avec soin autant de détail que ce soit pour le lieu de la rencontre ou encore pour la jeune femme.

La rencontre des deux personnes, se fait tout d’abord sur le seuil de porte puis dans la cuisine, qui nous est décrite minutieusement. Flaubert, nous parle tout d’abord du grand feu qui chauffais la maison, puis du repas qui préparation, des vêtements étendus pour qu’ils puissent sécher et des instruments pour le feu qui sont propre au point de briller. On comprend donc, que Emma la femme de la maison sait s’occuper d’une maison comme tout mari aimerai que sa femme s’occupe de celle-ci .

Après cette description, Flaubert va se focaliser petit à petit sur certain détail d’Emma

Aux tout premier mots, la tenu d’Emma est décrite, elle est vêtu d’un robe de mérinos bleu, symbole de pureté tout comme la couleur blanche de ses ongles. La description de ses ongles « brillants, fins du bout, plus nettoyé que les ivoires de Dieppe, et taillé en amande » font ressortir la féminité, car pourtant le reste de sa main est laid. Ensuite, vint alors la description de son yeux en des termes bien défini : « une hardiesse candide » qui résume assez bien le drame de la vie du personnage. Le regard de M. Bovary se porte ensuite sur ses cheveux lisse, tiré en arrière par un chinion et séparer en haut du crane par une raie très fine, montre la sérosité de cette jeune femme qui pourtant pas une touche de rose sur ses joue fais ressortir une certaine douceur.

CONCLUSION
Le réalisme qu’utilise