« Dans le sommeil…moi et mon idée »
Alain parle de la conscience de soii. Quand on dort, on est soi-m^me, mais sans le savoir ; La conscience est cet état d’éveil qui permet un retour sur soi, une connaissance de soi : elle suppose réflexion. C’est pour cela qu’elle est médiate : il faut déjà qu’elle opère pour se connaitre en train d’opérer.
Elle suppose une division, celle qui distingue le sujet de l’objet, c à d, qu’elle se connait en tant qu’acteur principal de la connaissance (sujet) et en même tps ce qui est connu(objet)
Alain fait une liste des différentes consciences possibles :
-moi et le monde : il y a qq ch qui existe en dehors du moi
-moi et ma sensation : il y a une opération qui me permet de connaitre ce monde extérieur
- moi et mon sentiment : /////////////////de connaissance qui dépasse celle de la sensation et qui me fait connaitre le monde dans l’universel.
« C’est bien le pouvoir de douter…le mal comme pour le bien »
Cette vie du moi, cette conscience est un mouvement : on ne peut donc connaitre le moi comme un état stable. Dee sorte qu’on ne se reconnaitrait pas si l’on se retrouvait tout entier : un moi en devenir n’est déjà plus moi et pas encore moi. Alain montre que le fil directeur n’est pas dans la conscience mais dans la volonté : ce que je voulais, je le suis devenu. Voilà le lien entre le passé et le pst. Ainsi le sujet s’ouvre à l’action, à la moralité.
« ainsi le moi est un refus…selon le tps »
Le doute, le refus d’être moi, voilà la vie de la conscience. Je ne suis pas moi, je ne suis plus cet enfant, et ne suis pas encore e que je pensais devenir… Pourtant cette conscience est essentielle, car elle permet de montrer cet élan de la volonté.
L’œuvre achevée de l’artiste témoigne de son désir de faire et à la fois ne satisfait plus ce désir(puisqu’il va créer de nouveau) de même le moi est ce résultat de l’action passée et à la fois cette tension vers l’avenir, un moi qui est sujet…

Suis-je moi-même, simplement,