I) Les événements révolutionnaires

A) La réunion des Etats généraux

• La marche de la révolution et l’émergence de principes nouveaux : Dès le début de la révolution le régime qui est très ancien est tombé en quelques jours. Entre le 5 mai et le 5 août 89 le régime disparaît, cette mise à mort se constate sur tout les plans : social, juridique et politique.
La réunion débouche sur un changement de souveraineté (mise à mort pol de l’ancien régime royale et la mort social de l’ancien régime). Le contrôleur général des finances Mr. NECKER fait un discours mais ne répond pas aux contestations des députés, la question du vote par ordre ou par tête reste muette et cela provoque la crise.
A la fin de la séance le maître des cérémonies invite les députés à sortir et sépare les 3 ordres dans leurs salles séparées où ils vont siégés. Les députés du Tiers E refuse de se séparer car ils ne veulent pas voter par ordres.
Dès le 6 mai quelques députés de la noblesse éclairés et du clergé annonce aussi le refus de séparés les 3 odres et le Tiers E refuse qu’on les appellent Tiers E qui montre la répartition tri partite de la société d’ancien régime et il se donne un nouveau nom qui est celui de députés des communes (nom géographique plutôt que par ordre), c’est la première acte décisif de la mise à mort de l’ancien régime.
A travers ce nom, ce symbole il refuse l’ancien régime (la société d’ordres). A partir de ce jour l’assemblé et le Tiers E vont pratiquer une attitude constante d’obstruction, de blocage, les communes ne commenceront par leurs délibérations tant que les 3 ordres ne seront pas réunit. Pendant 1 mois il va rien se passer parce que ces députés du tiers E ils refuse de débattre et ils veulent se décompter en une seul assemblé (par tête) alors que les autres veulent voter par ordres. Cette période va renforcer les revendications de tiers E et le roi (Louis XVI) ne fait rien, il est indécis, le pouvoir l’embête. Il tente deux conciliations le 25 mai