Maupassnt une vie
Le Plan: l 1-10: Prise de conscience de Jeanne qui tente une evasion l 11-18: Evocation de la nature et déception de Jeanne l 19-31: Le tableau automnal reflète le malheur
1/ La prise de Conscience
1/ L'avenir est bouche, c'est un piège sans issu
Jeanne prend conscience de la transformation de sa vie avec l'emploi du verbe "allait devenir", futur proche et donc inexorable, il n'y aura plus de possibilités de charmantes inquiétudes d'ou la métaphore de la porte fermée Dans la structure en chiasme "douce réalité...réalité quotidienne", elle oppose le voyage et le passe, les "premiers jours" qui étaient synonyme d'attente d'"espoir indéfini" à sa vie actuelle, "quotidienne" qui la plonge dans une sorte de train-train, le présent devient répétitif, l'avenir est vide, il "fermait la porte" a tout espoir, "c'était fini d'attendre". Cette situation rappelle le Spleen, c'est un mur. Le lien logique "mais" est bien-sur négatif et la locution "voila que" est resultative.
2/ Vers une activité qui n'a plus rien de pratique: Plus de rêve
Jeanne prend conscience qu'il n'y a plus d'espoir avec le verbe tourne négativement "plus rien à faire". C'est une douleur interne (Spleen) qui vient des autres, on retrouve presque l'expression du spleen Baudelairien avec des