I.Récit burlesque:
Le narrateur est omniscient . Le récit est organisé pour dévaloriser la prétentions des térriens. Le point de vue des géants est carcatérisé par l'expression "ces étrangers là". Le point de vue des géants sur la terre est déprésiatif avec "méditérannée" et "grand océan". Ces points de vue mêlés accentuent l'idée de relativisme. Le récit est accéléré grâce à des sommaires:
Le 1er sommaire est sur les méthodes d'ecplorations . Le 2ème sommaire est sur la durée du voyage (critique du narrateur en comparant la durée du voyage à celle du système solaire). Le 3ème sommaire (ligne 16,17) évoque la terre. Les expérimentations sont présentées d'une manière humouristique (ligne 22, 23) .
Le récit aboutit sur l'échec provisoir. Les décalages conotent les échelles de grandeur (ligne22, 23 ... ) . Il y a un parallèle avec la manière de marcher : "tourner sur son axe", et "marcher sur ses pieds" (l15,16). Le mouvement des planètes est personnifié.

II.Dialogue sur la notion de relativisme:
Il y a un faux dialogue entre les deux personnages . La première phrase du récit critique les défauts du nain . L'objection de Micromégas est fondée sur la perception. Le dialogue est plusieurs fois coupé par la conjonction "mais" : c'est le nain qui reformule son idée .
Il y a une juxtaposition entre le ridicul et le relatif qui va être développé par une description stairique du monde contraire à la géométrie .
Le récit et le dialogue s'inscrit dans l'ésprit des lumières avec l'empirisme et le registre satirique.

III.Vision satirique- et philosophique:
Le texte s'inscrit dans l'ésprit des lumières par ses réflexions sur les différentes planètes et par le relativisme. Le décallage entre minuscule d'imprimerie et italique conotent la disproportion de la terre .
La méditérannée est composée à une "marre". Le lexique cherche à minorer les grandeurs. Le point de vue des géants est représenté par le pronom indéfini "on" , et l'expression "pour eux" développe