Mon dos, cul mentent à maman
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Commentaire Composé
« Le crépuscule du soir » est un poème de Charles Baudelaire, publié en 1861 dans le recueil Les Fleurs du mal, de la section « Tableau parisiens ». Ce poème, de Charles Baudelaire, fait partie du mouvement littéraire du symbolisme qui a commencé à la deuxième moitié du XIXème siècle, jusqu’au début du XXème siècle. « Le crépuscule du soir » décris deux aspects de la nuit de Paris. Nous nous demanderons donc en quoi la nuit est-elle ambivalente. Nous analyserons les deux aspects de la nuit, sa dangerosité puis, les aspects innocents des nuits parisiennes.
Dans le début du poème le poète utilise des métaphore pour montrer l’arriver de la nuit. Pour nous mettre dans l’ambiance. Il commence par décrire la lente et subtile arrivée de la nuit par une métaphore, « à pas de loup » (vers 2). Baudelaire utilise un contre rejet pour signaler l’arrivé officiel de la nuit, « le ciel se ferme lentement comme une grande alcôve » (vers 2,3).
Les aspects dangereux de la nuit sont nombreux. On peut facilement distinguer un champ lexical du danger dans ce poème : « criminel » (vers 2), « démons » (vers 11), « Tourmente » (vers 15), « l’ennemi » (vers 18), « dérobe » (vers 20), « catin et escrocs » (vers 24) et « voleurs » (vers 25). Cet important champ lexical montre la dangerosité de la nuit à Paris. Baudelaire insiste sur la Prostitution. D’abord en utilisant un synonyme « catin » (vers 24), puis en mettant une diérèse, afin que le lecteur ne puisse pas passer à côté de ce mot, et de son mal dans Paris. La comparaison au vers 16 « comme une fourmilière » parle encore de la prostitution e nous fais comprendre qu’elle envahi totalement les nuit de Paris. Au vers 18 « l’ennemi qui tente un coup de main », « l’ennemi » est encore la prostitution donc a nouveau le mal. Du vers 23 à 28 il y a une allitération en « s » comme les serpent qui représente le mal. Et dans ce vers qui représente le mal ont retrouve le mot « catin » (vers