Mon rêve familier, verlaine
Que ce soit par sa douceur ou par la source de réconfort qu’elle offre à son charmeur , la femme chérie dans Mon rêve familier semble partager une affinité avec celui-ci: « D’une femme inconnue, et que j’aime et qui m’aime », (vers 2). Ici, la réprcocité de leur amour se traduit spécialement par ce parrallèlisme. En créant deux phrases qui se rapprochent par leur construction, on renforce la mutualité de l’attachement. Contrairement à Beauté …afficher plus de contenu…
Dans le premier texte, le poète Verlaine suggère le rêve d’un amour. Plus précisément, la femme y figurant n’est qu’une représentation imaginaire du passioné. Ce songe ne s’avère que le reflet de sa créativité, voire son désir d'avoir quelqu'un à ses côtés : « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant » (vers 1). Nul doute, l’utilisation de l’adjectifs tel « étrange » ainsi que « pénétrant » une idée négative peut-être véhiculée. Quoique ce poème relève une connotation positive. Par ce fait, on souligne l’aspect soi-disant farfelu d’un rêve qui, dans un même temps, est paisible. Dans un même ordre d’idées, Nelligan, quant à lui, évoque un amour autant impossible qu’irréaliste puisque la femme ne ressent aucune attirance physique : « Je ne puis l'approcher qu'en des vapeurs de rêve. » (Vers 6). Par l’utilisation de l’hyperbole on décèle ce sentiment d’impuissance face à une potentielle proximité. Par