Monsieur Lazhar
Monsieur Lazhar est un film dramatique québécois réalisé par Philippe Falardeau. Il est adapté de la pièce Bachir Lazhar d’Évelyne de la Chenelière. L’intrigue est sur un homme Bachir Lazhar (Mohammed Fellag) venant d’Algérie qui commence à enseigner à une école primaire à Montréal après une enseignante, Martine, s’est tuée dans sa salle de classe. Il essaye de se familiariser aves les élèves pendant qu’ils essayent de surmonter la mort de l’ancienne enseignante. Il y a Alice (Sophie Nélisse), une élève favorite de Lazhar qui écrit une rédaction sur le suicide, et Simon (Émilien Néron), un élève désobéissant qui apporte toujours avec lui une photo de cette enseignante sur laquelle il a dessiné une corde autour de son cou. Cependant, personne ne sait le passé douloureux de Lazhar dans lequel sa femme, qui était une enseignante et une écrivaine, et ses enfants, ont été tués par des gens qui étaient fâchés par des problèmes politiques discutées dans son livre. Malheureusement, on trouve que Lazhar n’a pas de diplôme d’enseignement donc il est viré. Son dernier jour, Alice lui donne une accolade pour dire au revoir.
Personnellement, je pense que Monsieur Lazhar n’est pas justement un film d’un enseignant, mais il est un film de la mort : quelqu’un choisit de se tuer pendant que les autres sont tués ; malgré tout, ce sont ceux qui restent qui souffrent le plus. Peut-être la scène que j’apprécie le plus est celle dans laquelle Alice présente sa rédaction à la classe. Il est impressionnant qu’une élève de 10 ans puisse réaliser des aspects différents d’une mort : la violence, la culpabilité et la peine. D’abord, Martine s’est donnée la mort, et c’était un acte de violence ; deuxièmement elle est partie sans dire au revoir, ce qui est cruel envers ses étudiants et ses collègues en effet qu’ils doivent rester douloureusement en confusion. Dans cette scène, l’arrière-plan simple, la négligence de l’effet sonore et le centre de la caméra à une jeune