Naiveté des paysannes dans le teatre
C’est quartes textes mettent en scène des paysannes nommer Charlotte chez Molière, Sylvia pour Marivaux, Fanchette pour Beaumarchais et enfin Rosette chez Alfred de Musset nous allons donc voir quels sont les indices prouvant la naïveté des ses personnages.
Ce qui montre la naïveté de Charlotte est premièrement le fait quelle répète à chaque fin de phrases le mot «monsieur» tout comme Silvia de Marivaux qui elle utilise a répétition les pronoms personnels tels que « elle » et « moi » mais aussi l’adverbe « là » pour effet l’insistance. Les réponses courtes après les tirades de Don Juan mais aussi le fait qu’elle exécute les ordres du héros sans se poser de questions l176 à 184 et pour finir l’utilisation de mots tels que le «son» ou d’autres déformés comme « fi ! » l196 font état de la naïveté de charlotte, Pour ce qui est de celle de Silvia elle est montrer par ses phrases où les mots sont désordonner comme dans sa deuxième réplique « qu’est-ce donc qu’elle disent ». Un dernier point montrant la naïveté de Silvia et son incapacité à comprendre qui est réellement l’auteur des critiques.
Pour les deux autres paysannes Fanchette et Rosette leurs naïveté et déjà comprise dans leurs nom avec le suffixe « -ette » leurs comportement et aussi la conséquence de leurs simplicités en effet quand Figaro demande si Fanchette les espionnes elle trouve comme seule excuse que c’est « malhonnête ». Quant à Rosette un rien la « chagrine », elle parle « du temps », « des fleurs », « des chevaux » puis des « ses bonnets ». Tous ces points montres en quoi les personnages des paysannes de ces quartes extraits sont naïves et