Nombdre d'or. Suite de Fibonacci
La découverte du nombre d’or remonte à la plus haute antiquité.
C’est le mathématicien grec Pythagore
(VIème siècle avant J. C) qui a découvert le nombre d’or.
Puis, Euclide (IIIème siècle avant JC) a découvert l’essentiel des propriétés géométriques du nombre d’or.
Au XIème et au XIIème siècle, 80 cathédrales, 500 grandes églises et des milliers d’églises paroissiales on été construites selon les proportions du nombre d’or. Dans ces constructions, ce sont les propriétés géométriques du nombre d’or qui ont été utilisées.
C’est aussi à cette époque que beaucoup de mathématiciens se sont penchés sur les propriétés arithmétiques du nombre d’or (Fibonacci : XIIème siècle). Le nombre d'or, une clé d'harmonie universelle • PEINTURE
L'homme de Vitruve de Léonard de
Vinci respecte les proportions explicitées par Vitruve, rationnels préférés au nombre d'or par Pacioli pour ce qui concerne les œuvres d'art. De nombreuses indications laissent penser que ce n'est pas du côté de la divine proportion qu'il faut chercher à comprendre les rythmes du Saint
Jérôme de Léonard de Vinci
• Architecture
Le théâtre d'Épidaure contient deux séries de gradins, l'une de
21, l'autre de 34, deux nombres consécutifs de la suite de
Fibonacci dont le rapport est proche du nombre d'or.
Des autres exemples ou on observe la proportion divine:
Chapelle
NotreDamedu-Haut
Le Corbusier s'est inspiré du dessin d'une carapace de crabe pour concevoir le toit. De plus, l'édifice se veut en harmonie avec le paysage vallonné des Vosges : les courbes de la chapelle répondent aux collines
Notre-Dame de Paris
• musique
En musique, en étudiant deux à deux les fréquences des notes d’une gamme particulière et très célèbre, à savoir la gamme de
Zarlino dans laquelle nous retrouvons encore une fois ce fameux nombre d’or.
La gamme de Zarlino est définie en associant trois quintes successives.
La superposition de 2 notes s’appelle un intervalle. Il y en a plusieurs types dans la