Nos désirs nous appartiennent-ils ?
Introduction.
Le mot désir est issu du latin « desidus » littérairement, une absence d’astre, d’étoile, donc ce qui engloberait un manque, le désir s’exprime donc par le manque de quelque chose. On peut dire que ce manque vise à un but, la satisfaction. De manière générale ; le désir naît donc, en nous, lorsque nous ressentons un manque, dès lors nous faisons tous ce qui est en notre pouvoir pour chercher à satisfaire ce désir, ce manque. Cependant il est normal de se demander, si ces désirs n’émanent que de notre corps, de notre personne, de nos manques, ou s’il peut également survenir d’ailleurs ? Si oui, de qui, ou encore de quoi ? Ceux peut-ils que nos désirs naissent dans ce de quelqu’un d’autres ? En somme est-ce que nos désirs nous appartiennent à nous seulement ? Nous verrons après avoir analysé les différents termes du sujet, que nos désirs nous appartiennent bel et bien. Puis dans un second temps que la nature de nos désirs ne nous ait pas forcément propre.
1ère partie : Analyse des termes du sujet.
A) « nos désirs ».
B) « nous appartiennent-ils ».
2ème partie : Le désir nous ait propre.
A) Désir et besoin.
B) Désirs et connaissance, Epicure, Spinoza et Nietzsche.
C) Nos désirs nous rendent esclaves.
3ème partie : nos désirs ne sont pas que notre.
A) Le désir mimétique, de René Girard.
B) Le désir du désir de l’autre, de Schopenhauer, Hegel.
C) La structure triangulaire du désir, de René Girard.
Conclusion.
Nous avons donc vu que cette question de l’appartenance de nos désirs et tout simplement primordiale car grâce à elle nous somme dans la capacité de gouverner ou non nos désir, en effet il faut impérativement connaître l’origine d’une chose si l’on veut pouvoir la dominer. Nous avons donc vu que nos désirs semblaient évidement nous êtres propre puisqu’ils naissaient de nos manques, ce que l’on appel le désir spontané, afin de pouvoir les contrôler il nous faut