On appelle aujourd’hui « mondialisation » le processus d’augmentation accrue des flux et des échanges de toutes sortes au niveau international, ainsi une grande partie du monde participe, de plus en plus, à ce processus il n’est pourtant pas universel.
Les documents présentés sont des cartes, la première est un planisphère concernant l’activité économique de la FTN japonaise Toyota fait par l’entreprise elle-même, la seconde est une carte de Chine sur l’intégration des différents territoires à la mondialisation au sein de l’Etat chinois, établie par le CNRS. Dans quelle mesure ces cartes renseignent-elles sur le processus de mondialisation et l’inégalité entre territoires dans son intégration ?
La mondialisation est, dans un premier temps clairement affichée dans ces documents à travers la représentation des territoires intégrés ce qui laisse place, dans un deuxième temps, à l’apparition des inégalités avec les régions plus isolées des échanges et flux mondiaux qui sont visibles par contraste, plus implicitement.

Le processus de mondialisation est en effet clairement exposé à travers ces cartes.
D’abord, le document n°1 propose une étude de l’activité d’une Firme Trans-Nationale (FTN), ces sortes d’entreprises sont les acteurs majeurs de la mondialisation et les raisons de cette forte implication au processus apparaissent en grande partie sur ce planisphère : premièrement l’ampleur des échanges massifs opérés par la firme japonaise avec des millions de véhicules vendus à travers le monde en 2010, de plus, la FTN s’inscrit dans la DIT (def) qui consiste à utiliser les pays selon leurs avantages afin de faire plus de profit ce qui met d’une part les pays en concurrence et d’autre part permet à l’entreprise de faire affaire avec des centaines de pays différents ce qui a pour résultat d’accroître les flux de personnes, les échanges de marchandises etc dans le monde entier. Ici par exemple, Toyota montre que beaucoup de ses sites d’assemblages se trouvent dans des