Partie i et ii, commentaire sur l'alambic, de zola.
D'autre part, une atmosphère populaire est également présente. En effet, les paroles rapportées au discours indirect libre : " Tonnerre de Dieu ", " Dame ", les mots d'argot " roussin ", ainsi que le language oral : " dès à coudre ", " gosier " indiquent un language familier, non utilisé par les bourgeois. De plus, les verbes : " s'accouder ", " ricaner ", et le surnom : " Mes-Bottes " montrent un comportement populaire. C'est donc un texte réaliste. Mais ce passage a aussi un autre but.
En effet, il montre une machine menaçante, qui fait peur. Pour commencer, l'alambic est entouré de mystère. Ainsi, l'auteur laisse plâner le doute grâce au champ lexical de l'obscurité : " sombre ", " nuit ", " éteint ", "interieur ", " souterrain ", mais aussi grâce au compléments circonstanciels de lieu : " derrière ", " au fond ". Et les points de suspension utilisés avec les paroles rapportées au discours direct : " C'est bête [...] la boisson me fait froid ..." ainsi que le champ lexical de la peur : " murmurant ", " frisson ", " recula " laisse penser au lecteur que Gervaise est terrifiée. Le mystère est donc bien présent.
Enfin, ce