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Pensée politiques et économiques

Conclusion sur les politiques structurelles :

Les politiques structurelles sont très nombreuses. Elles correspondent aux interventions publiques, elles sont donc crées sur le long terme. Elles sont justifiées par les défaillances de marché c'est-à-dire : « les markets failures ». Les défaillances de marché correspondent aux situations de monopole, aux externalités.
L’externalité peut être positive ou négative. Les externalités sont la résultante ou la conséquence de l’action d’un agent économique sur un autre agent économique ou autre groupe d’agents économique. Les externalités ont été mises en évidence par un libéral : A. Marshall. Il met en évidence le modèle néo-classique.
Il existe une troisième défaillance à savoir les biens collectifs dans le sens ou le marché ne peut pas produire les biens. Le marché doit intervenir pour rétablir l’information imparfaite (4eme défaillance).
Les défaillances de marché montrent que le marché à lui seul n’est pas toujours efficace et donc cela nécessite l’intervention de l’Etat. Ces cas de figures sont pris en compte par les libéraux.

Les politiques structurelles s’inscrivent dans le cadre des fonctions d’allocation et de redistribution. Les politiques conjoncturelles ont pour objet d’assurer la régulation et la stabilisation de l’économie. Pour autant on ne peut comprendre l’une sans l’autre.

Les politiques économiques ont 4 grands objectifs : * La croissance de la production. (aujourd’hui faible) * Le plein-emploi des facteurs de production (aujourd’hui chômage et capital moins utilisé) * La stabilité des prix * L’équilibre extérieur
A ces 4 objectifs, on peut ajouter l’objectif de stabilité du taux de change. Cet objectif a été ajouté dans les années 80. (période de change flottant c'est-à-dire des taux de change qui dépendent de l’offre et de la demande)