Philosophie, dissertation.

La justice est un principe moral de la vie sociale fondé sur la reconnaissance et le respect du droit des autres qui peut être le droit naturel (l'équité) ou le droit positif (la loi).Celle ci est donc un rempart face aux pulsion naturel de l’Homme, censé éviter le désir de vengeance. Si ce désir n’est pas totalement inhibé par la justice, peut-on se faire justice soit même ? Assouvir sa douleur est elle toujours la bonne solution ?quel en sont les conséquences sur un individu ?sur une société ? Par quoi peut être influencé notre volonté de se faire justice ? Si nous subissons un trouble de n’importe quel ordre, l’idée de se faire justice nous effleurera l’esprit, dans d’autre cas l’idée prendra la forme de l’acte. Cette auto justice ne sera pas tolérées par l’état, plusieurs lois code notre conduite et interdisent cette forme de justice. Nous sommes donc le seul arbitre face à la situation. Ainsi devant l’ampleur du méfait qu’on à subit nous pouvons « choisir » notre justice ou celle de l’état. Notre choix sera alors filtré par notre détermination, détermination d’autant plus lourde si un sentiment d’injustice est ressentit. Ce sentiment décuplera ainsi notre envie de se faire justice soit même. En effet il est courant de ressentir une injustice après l’évocation de la sentence. Cependant notre justice ne peut être qualifiée comme telle, celle-ci est personnelle, paralysant toute partialité, objectivité. Cette justice est donc assimilée à une vengeance. Pour garder une certaine lucidité il est nécessaire d’engager une personne neutre afin de rendre la sentence juste.

La société dans lequel nous vivons ne survivrait pas à ce mode de justice, ceci entrainerait sans doute chaos, anarchie. De plus ce mode de justice aurait l’effet inverse, au lieu d’apaiser les tensions, elle ne provoquerait qu’une escalade de la violence. Nous pouvons