Philo Mariann
Il n’est pas rare d’être amené à donner notre avis sur l’actualité, sur des aspects du quotidien, sur des aspects du monde qui nous entoure. Il n’est pas rare non plus d’entendre des choses avec lesquelles nous soyons en désaccord, des points de vue qui paraissent futiles, ou bien insensés, ou même carrément intolérables. Dans ces cas de figures, il existe plusieurs façon de réagir. On peut ignorer, feindre d’acquiescer, discuter, s’indigner, entre autres. Mais il souvent d’usage de tolérer au nom de la subjectivité des avis. Mais l’argument du caractère relatif de nos opinions suffit-il pour les rendre toutes tolérables ?
Est-ce que sous prétexte qu’elle est relative on doit toujours tolérer une opinion ? Quelles sont les limites de cette relativité ? Le fait de tolérer ou non n’est-il pas lui-même subjectif ? Comment peut-on juger du seuil de tolérance d’une opinion ? Peut-on tolérer l’intolérable ?
I-Definition d’une opinion alors le fait de contredire une opinion est egalement une opinion.
-Une opinion qui nous parait intolérables car elle va à l’encontre des normes et des valeurs qui sont pour nous essentiels, paraitra aux yeux de qqn d’autre qui a vécu, appris et interiorisé des choses differentes totalement normal, il est alors compliqué de pouvoir émettre un jugement négatif envers une opinion
-si nous pensons que la thèse adverse est insensée, lui-même peut penser la même chose de la nôtre et alors
-Tolérer une opinion n’engage à rien, s’opposer à quelque chose que nous n’approuvons pas fais parfois plus de dégats que l’ignorer
-Il ya différentes échelles de gravité, un avis sur une robe, une manière de cuisiner peut être tolérer sans qu’il y ait mort d’homme
-Il serait d’usage de laisser une personne penser ce qu’elle veut sans quoi on va à l’encontre de sa liberté de conscience
-Tant que l’individu ne mets pas en pratique ce qu’il énonce et que