Philo
Pour répondre à la question initiale, l'auteur donne un exemple de la ligne 2 à 7, « Dans l'apprentissage d'un exercice, par exemple, nous commençons par être consients de chacun des mouvements que nous éxécutons, parce qu'il vient de nous, parce qu'il résulte d'une décision et implique un choix ; puis, à mesure que ces mouvements s'enchaînent davantage entre eux et se déterminent plus mécaniquement les uns les autres, nous dispensant ainsi de nous décider et de choisir, la conscience que nous en avons diminue et disparaît », ici, Bergson veut dire que pour executer une action automatiquement, il faut d'abord passer par la phase d'apprentissage de cette action. Par exemple, on apprend à marcher, et une fois acquis, nous le faison machinalement. Ensuite, l'auteur se pose différentes questions, qui constistuent différentes parties, par exemple, à la ligne 8 « Quels sont, d'autre part, les moments où notre conscience atteint le plus de vivacité ? » fait partie d'une première partie, de la ligne 8 à 11, où Bergson présente le moment d'apprentissage. Ensuite, de la ligne 11 à 13, cela constitue les moments où nous faisons des choix, et enfin, de la ligne 13 à 15, c'est la conclusion personnelle de l'auteur.
De sorte que l'auteur soutient la thèse selon laquelle les variations d’intensité de notre conscience semblent donc bien correspondre à la somme plus ou moins considérable de choix.
Toutefois, on peut se demander si cette position est légitime ; peut-on vraiment dire que la conscience disparaît ? Le problème serait donc de savoir s'il n'existe pas un autre fait, comme l'inconscience pour répondre à la question