Plaidoyer sur la nuit d'emile wiesel

813 mots 4 pages
Plaidoyer sur la nuit d’Elie Wiesel Bela Rodninanski, Florika Liebmaan, Renée Albersheim, ursula loewenstein, Izabel Marton, Zoli Marton, Sarah Rivka, Mara Coblic, Yehiel Mintzberg, Zipporah Picker, Shraga Feiwel, Yosef Laska et six millions d’autres innocents… Des gens comme vous et moi, et pourtant, ils ont tous été sauvagement et injustement assassinés en vertu de théories raciales, car leur seul et unique crime était, tout simplement, d’être juifs ! C’est pour cette raison monsieur …afficher plus de contenu…

Il ne s’agissait pas juste de les intimider ou de les humilier, non, ça allait bien au-delà de cela… Ces monstres leur ont fait perdre leur humanité, ils leur ont fait perdre toute dignité humaine. Que faisiez-vous à 16 ans ? A 16 ans, Elie Wiesel, était un jeune juif prisonnier dans les camps de concentration, un nombre lui avait été tatoué sur le bras comme, je pèse mes mots, un porc que l’on envoie à l’abattoir. De prénom, il n’en avait plus car ce nombre l’avait remplacé. A 16 ans, Elie Wiesel priait pour la mort de son propre père car il était devenu une menace pour sa survie, les camps l’ayant rendu trop faible. A 16 ans, Elie Wiesel frôlait chaque jour dans ces camps, la mort menaçante et sanglante sans relâche et dans une peur continuelle. Trouvez-vous cela normal qu’à l’âge où certains jeunes commencent à découvrir la vie, à s’amuser, à faire la fête, que …afficher plus de contenu…

Les médecins du troisièmes Reich ont effectué des expériences avilissantes sur les prisonniers se trouvant dans les camps de concentration. En effet, ces médecins retiraient un sadique plaisir dans le fait torturer ces pauvres juifs, parmi l’une de ses nombreuses atrocités ; les injections dans les yeux ayant pour but de créer la race aryenne qu’ils considéraient comme une race pure et supérieure, digne de dominer le monde ; les blancs, blonds aux yeux bleus. Ainsi, voici le témoignage d'Ella Lingens, infirmière polonaise déportée à Auschwitz, cité par Langbein 1975 : « Je me rappelle la petite Dagmar. Elle était née à Auschwitz en 1944 de mère autrichienne et j'avais aidé à la mettre au monde. Elle est morte après que Mengele, un médecin allemand de la Seconde Guerre mondiale, lui eut fait des injections dans les yeux pour

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