Plan analogique
1er PARAGRAPHE : (Ressemblances)
I.P 1 : Les deux auteurs soutiennent de la même façon l’idée de l’attachement à la terre, car les personnages des deux œuvres se voient culturellement attachés à cette dernière.
I.S 1.1 : Ils sont tous deux attaché à cause de leurs ancêtres.
Texte Maria Chapdelaine : « Nous sommes venu ici il y a 300 ans, et nous sommes restés… »
Texte Trente arpents : « […] comment son fils, pouvaient-ils consentir à vivre dans ce pays qui n’était pas le leur […] »
I.S 1.2 : Les personnages sentent qu’en demeurant au Québec, ils font partis d’une race, d’un groupe de personne à part qui a sa propre histoire.
Texte Maria Chapdelaine : « Ces gens sont d’une race qui ne sait pas mourir… Nous sommes un témoignage. »
Texte Trente arpents : « Comment les hommes de sa race […] » Clôture
2e PARAGRAPHE : (Différences)
I.P 2 : Les deux auteurs ne soutiennent pas de la même façon l’idée de l’attachement à la terre, parce que dans le texte de Maria Chapdelaine le personnage semble attaché à la terre uniquement en obéissant uniquement aux voix. À l’opposé, dans le texte Trente arpents le personnage principal perçoit la terre comme une sorte de liberté et d’autonomie face à son mode de vie.
I.S 2.1 : Texte Maria Chapdelaine : « Alors je vais rester ici… de même ! car les voix avaient parlé clairement et elle sentait qu’il fallait obéir. »
I.S 2.2 : Texte Trente arpents : « […] le livrait pieds et poings liés à des étrangers […] à des gens pour qui la terre n’était rien. »
Clôture
3e PARAGRAPHE : (Prise de position)
Rappel I.P 1 et I.P 2.
Prise de position : Malgré leurs situations différentes, les personnages soutiennent de la même manière l’idée de l’attachement à la terre.
I.P 3 : Les personnages considère leur pays mieux et plus agréable à y demeurer que les autres.
I.S 3.1 : Texte Maria Chapdelaine : « Autour de nous, des étrangers sont venus, qu’il nous plaît d’appeler