Plan dissert sur les mythes fondateurs du couple
La notion de famille reste indéfinie dans les codes. En 1804, on distingue la famille soit
Comme l’indique Monsieur Claude Martin, on ne peut plus réduire l’institution familiale à « Mr Gagne pain et Mme Aufoyer ».
La Famille se définit de trois manières selon Gérard Cornu. Il s’agit de « l’ensemble des personnes qui sont unis par le lien du sang, qui descendent d’un auteur commun (même au délà du degré successible) ». Mais le terme de famille désigne aussi « le groupe restreint des père et mère et de leurs enfants (mineurs) vivant avec eux (famille conjugale, nucléaire). Et enfin, la famille désigne « les seuls enfants, descendants directs ». On parle alors de famille de souche.
Nous allons voir que le droit de la famille a connu de grandes modifications pour faire face aux évolutions des mœurs. I. Des mythes fondateurs en déclin.
A. La notion de famille menacée par l’essor de libertés individuelles
B. La notion de couple saisie par le droit dans sa pluralité.
II. Des mythes fondateurs résistants.
A. Les postulats constants à la notion de couple
B. La promotion constante de la notion de famille.
I. La fin du mythe ?
A. Irrésistible évolution
B. Inéluctable destruction.
II. Des mythes métamorphosés. A. Révolution B. Avenir.
I. La fin du couple et de la famille traditionnels. A. Les motifs de l’engagement ont changés B. Les moyens de s’unir ont changés. II. Des mythes fondateurs résistants.
A.Les postulats constants à la notion de famille
B.La promotion constante de la notion de famille
L’alliance
A. Modèle unique.
Mariage de raison, mariage obligatoire.
-un mariage fécond (voir indice de fécondité pendant les Trente glorieuses ).
-un mariage dans le même milieux : raison économique (encore vraie pour le milieu très privilégié).
-un engagement devant dieu, jusqu’à la mort. B. Pluralisme des modèles de couple