Plan détaillé sur martin sommer
Pp 107 à 109
Dans ce texte, nous pouvons distinguer plusieurs parties, une qui est consacrée à Martin Sommer ( son physique, sa violence, sa perversité ) et une autre qui quand a elle marque le positionnement du narrateur par rapport à l’histoire.
Nous allons tout d’abord étudier le portrait physique de Sommer ; à travers le texte , on apprend que malgré « ses épaules épaisses » et « son corps puissant » il ne paraissait en rien être aussi méchant qu’il l’était, en effet le narrateur le dit à plusieurs reprises « Si il n’y avait pas ces deux hommes suspendus en face de lui, Martin Sommer ressemblerait plutôt à un ancien lutteur reconverti en militaire » , ou encore « je ne parviens pas à voir le sceau du Mal sur le visage de Sommer » et pourtant, le mal , la violence ; ce sont deux mots qui caractérisent bien notre personnage qui était disait-on « plus féroce que toutes les bêtes » , ou encore que « sa force et sa haine », pouvait par fois le pousser à « abattre [ des détenus ] avec tant de force et de haine que les bras et les jambes en étaient parfois arrachés au tronc ». Mis à part sa violence ( presque ) extrême, cet individu qu’était Martin Sommer était doté d’un « sadisme affreux », et d’une « méchanceté gratuite », puisqu’il a un jour décidé de mettre des laxatifs dans la nourriture de ses détenus, d’ensuite leur donner de minuscules pots de chambre et décider de tous les abattre , faisant le dégouté la saleté de la chose.
Après avoir fait une partie de la présentation de son personnage, le narrateur présente la difficulté qu’il a eu à composer une description de son personnage à travers des phrases assez révélatrices de sa difficulté à cerner le personnage, tel que « un des hommes sur lesquels j’ai le plus réfléchi durant toute cette période de ma vie », ou encore « rien sur ce visage ne crie je suis un monstre », cette dernière citation appuie sur un élément cité dans le premier paragraphe « il ne