Certains intervenants, comme les gens d’affaire d’une région à potentiel énergétique, sont en accord avec l’augmentation de la production d’une des ressources naturelle de l’Alberta car ils veulent continuer à les exploiter pour pouvoir toujours plus exporter vers d’autres pays pour que le profit augmente. Ils mettent de côté le fait que ces ressources s’épuisent à un rythme extrêmement rapide car ils ne veulent pas que les énergies plus vertes comme l’éolienne ou l’énergie solaire prennent le dessus. Si cela se produisait, les compagnies qui exploitent les sables bitumineux, le pétrole ou le gaz naturel de la région perdrait des clients et du même coup de l’argent dans leurs poches car il ne faut pas oublier que la planète devient de plus en plus écologique !

D’autres intervenants, tels les écologistes, voudraient que les sources d’énergie alternatives et plus écologiques se développent plus rapidement car ils souhaitent conserver un environnement sain et beau tout en continuant de vivre normalement, c'est-à-dire en consommant toute l’énergie qu’ils ont besoin dans la vie de tous les jours. Si ces nouvelles sources d’énergie venaient à être suffisamment développé pour qu’elles ne soient pas aussi chères qu’aujourd’hui, des petits villages d’Afrique pourraient se payer quelques panneaux solaires ou éolienne pour pouvoir vivre dans le plus de confort possible. De plus, si nous ne développons pas assez ces alternatives à notre pétrole et à notre charbon, qu’allons nous faire pour continuer à garder le rythme de vie si rapide que la plupart d’entre nous possède quand toutes les sources de ces énergie fossiles seront épuisées ?

Si la consommation d’énergie de l’Alberta augmentait en flèche, plusieurs conséquences autant sur la population que sur le territoire se produirait. Par exemple, les nombreux GES que nous produirions en encore plus grande quantité viendraient rendre la vie en ville encore plus difficile. Des périodes de smog plus fréquentes qui sont