Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’élargissement est une source de division au sein de l’Union Européenne, il y a une partie qui est pour et une autre partie qui est contre. Nous avons aussi cette division au sein des pays ayant posé leur candidature. Pour ce travail, le pays candidat dont je vais parler est la Norvège. Je vois analyser séparément la division au sein de l’UE et la division au sein de la Norvège.
Dans l’UE, l’accueil d’un nouvel élargissement n’est en effet pas le même selon les pays. Cinq Etats membres estiment que l’élargissement de 2004-2007 a affaibli l’Union : le Luxembourg et la France (54% dans les deux cas), la Belgique (43%), l’Autriche (52%) et l’Allemagne (48%). Les peuples des pays membres se désintéressent au fil des années cela est dû à un manque de débat et de publicité autour des décisions importantes prises au cours des années 1990 concernant l’élargissement au pays d’Europe centrale et orientale et à la Turquie. L’élargissement devient un outil de marchandage : la Bulgarie, a laissée entendre en janvier 2010, qu’elle s’opposerait à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne si cette entrée de la Turquie dans l’Union Européenne si cette dernière ne lui accordait pas les compensations financières réclamées pour l’expulsion de 250.000 réfugiés du pays en 1912. C’est pourquoi le consensus renouvelé pour l’élargissent a été adopter en 2006, où il est souligner qu’un soutient large et durable de l’opinion publique doit être mobiliser par une plus grande transparence et une meilleure communication. C’est dans ce but que l’article 49 du traité de l’Union Européenne a été retouché en ajoutant une obligation d’information du Parlement européen et des parlements nationaux lors de tout dépôt de nouvelle candidature afin de les associer plus en amont au processus. Les négociations d’adhésion ne doivent plus être vues come un instrument de politique extérieur à la disposition de l’exécutif européen, mais bien comme une partie