« Pourquoi aurions nous peur de demain puisque c’est nous qui le faisons grâce à notre travail d’aujourd’hui »
« Pourquoi aurions nous peur de demain puisque c’est nous qui le faisons grâce à notre travail d’aujourd’hui »
Août 1914, la première guerre mondiale commençait. Dans cinq ans, nous nous souviendrons encore de ce drame qui se sera pourtant déroulé il y a 100 ans. La guerre a permis aux femmes d’aujourd’hui de pouvoir voter. De fabuleuses avancées en chimie et en médecine (avancées au niveau de la fertilisation des femmes par exemple) ont été réalisées durant cette période. Même si la guerre est négative, elle a permit des avancées phénoménales. Par contre, les voitures à essence au plomb utilisée ce XIXème siècle semblaient être une formidable avancée technologique ! Grand bien nous fasse lorsque nos scientifiques découvrirent que le plomb contenu dans ce carburant polluait notre atmosphère. Voyons ce qui permet à l’homme de changer demain grâce à ce qu’il construit aujourd’hui et pourquoi rien ne sert de s’inquiéter puisque ce sont nos actes qui construisent notre avenir. Parlons premièrement des retombées positives de notre travail actuel. Ensuite, ce que les grands projets humains peuvent changer. Découvrons qui sont ces personnes capables de changer le futur, grâce à des actions anodines ou non. Mais des dérives existent ; des hommes peuvent détruire notre avenir par leurs initiatives. Et pour finir de la plupart d’entre nous qui choisissent la facilité de ne pas se préoccuper du futur.
Il est maintenant impossible de ne pas être poussé à changer nos habitudes pour préserver notre planète par la télévision, la radio ou dans la rue. Tri des déchets, utilisation de voiture moins voire non polluante, énergie verte, prime de construction lorsque l’on y met des panneaux solaires ou de l’isolant,…
De nos jours, les hommes veulent redresser les erreurs de leurs ancêtres qui n’avaient pas encore un souci écologique pour leurs futures générations. Toutes les décisions écologique sont prises en compte et récompensées.
C’est cette