ZERGAOUI Louisa Analyse de la pratique professionnelleTITRE : La prise en charge de la douleur en psychiatrie Situation : Mme G est suivie depuis son plus jeune âge en psychiatrie, elle est âgée de 37 ans. Elle est entrée dans le service le 5 février via USIC en ESPI pour une IMV aux morphinique qui l’a conduit aux urgences et strangulation sur place. Elle est hospitalisée en SDTU. Après entretien avec le psychiatre, Mme G est installée en chambre avec une surveillance horaire. ATCD : · Trouble …afficher plus de contenu…

Au moment du soin la patiente manifeste de l’angoisse (visage crispé, semble tendu avec accompagnement de mouvement anormaux) au fur et à mesure du soin, je vais mettre en place un climat de confiance qui sera de l’accompagner, la rassurer, me mettre à sa hauteur tout en lui expliquant le déroulement du soin. A ce moment-là, la patiente me demande s’il est possible d’écouter de la musique au moment de la réfection du pansement. A ce moment-là, l’infirmière lui réponds que cela est possible. Le soin se déroule de manière très apaiser, aucune plainte n’a été verbaliser, ni démontrer par la patiente. Le soin se termine et la patiente nous informe que son EVA est située à 8/10 malgré le traitement par MEOPA + la prise d’Actiskenan 1H avant le …afficher plus de contenu…

En effet, la douleur est subjective à chacun et de nombreuses variables influencent l’évaluation de celle-ci. L’expression de la douleur du patient dépend de : *Ses origines culturelles *De sa personnalité *De son état émotionnel, de son niveau d’anxiété et de la dépression. La perception par l’observateur dépend de : · De sa personnalité · De son expérience personnelle, professionnelle· De sa disponibilitéAu niveau