Production du mouvement d écriture
Quand on dit écriture cela veut dire, écrire un texte, choisir des mots, les orthographier, les mettre dans des mouvements.
En 1867, un neurologue, Ogle a commencé à travailler sur les désordres de l’écritures après une lésion cérébrale. Il s’est rendu compte que la plupart du temps les patients aphasiques avaient aussi des problèmes d’écritures. Quand on a un trouble de l’écriture après une lésion, on appelle ça une agraphie.
Il a remarqué sur les patients, que certains peuvent avoir une agraphie sans être forcément aphasiques. Il en a déduit que les centres cérébraux de l’écriture sont différents de ceux du langage parlé.
Dans la grande majorité des cas on est agraphique et aphasique, donc ces centres doivent quand même être relativement proches.
Il a remarqué que des patients écrivaient des lettres bien formées, mais qui ne choisissent pas les bonnes lettres : agraphie amnémonique.
Certains encore avaient eux, des problèmes pour former les lettres : agraphie atactique. Ce qui est écrit est illisible. La plupart du temps, ces patients avaient aussi des problèmes d’agraphie amnémonique.
On va différencier deux niveaux dans l’agraphie :
Linguistique
Moteur
Introduction : origine de l’écriture
En - 3500, avant le Cunéiforme, première forme d’écriture, chez les Sumériens. Cette civilisation marque la fin de la préhistoire, c’est la première fois que la société avait une réelle organisation complexe. L’écriture n’était utilisé qu’à des fins commerciales, on dessinait sur des tablettes d’argile quel produit avait été vendu, et en quelles quantités. Puis ils ont utilisé des stylets en forme de coin, ce qui a marqué le début du cunéiforme. Avec le cunéiforme on va avoir plus d’abstraction car les scribes avaient besoin d’aller plus vite.
A force d’écrire ils se sont rendu compte qu’il était mieux de représenter certains mots par des sons. On passe à un système phonographie : 1 signe = 1 son.
Egyptiens se sont basés sur