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Mais faisons fi, quelques instants, de l’esprit revanchard et du regard scotché au rétroviseur. La Mannschaft de 2014 a tout pour séduire l’amateur de ballon rond et, en toute subjectivité, ce sont nos voisins d’outre-Rhin qu’il faudrait soutenir. Vous en doutez ? Voilà de quoi vous convaincre.
La France d’aujourd’hui est l’Allemagne de 1982
Double attentat contre le nigérien Onazi qui a dû sortir sur une civière à la 52e minute, coup de pied en pleine tête de Giroud sur le Suisse Steve Von Bergen (qui a dû être rapatrié en Suisse) : les Bleus de Didier Deschamps savent marquer un match de leur empreinte physique.
Il ne manquerait plus que le gardien Hugo Lloris dégomme un joueur à la manière d’un Harald Schumacher pour que cette équipe française ait un petit air de Mannschaft version 1982.
Les Allemands, de leur côté, traversent ce Mondial-2014 avec le minimum de dommages chez leurs adversaires. Avec seulement deux cartons jaunes depuis le début de la compétition, ils sont parmi les moins agressifs, tout en développant l’un des jeux les plus plaisants à regarder. Ça vaut bien un petit soutien, non ?
Sans surprise, le social-démocrate Martin Schulz a été reconduit à une large majorité à la tête du Parlement européen. L'Allemand devra toutefois céder son siège en 2017.
"Grande gueule", "autodidacte", "bateleur"… Les qualificatifs qui décrivent Martin Schulz peuvent surprendre. À 58 ans, ce social-démocrate allemand a été réélu, mardi 1er juillet, à la tête du Parlement européen, fonction qu’il occupe déjà depuis 2012. Même si le début de la séance a été entaché par quelques