Que nous apprend le plaisir esthétique ?
Doit-on avoir une conception absolue de la beauté mais cet absolue nous permet de nous rapporter à la beauté en soi est ce que cela nous nous arrache pas des beautés particulières mais on ne voit plus les belles choses. La beauté en soi c’est la beauté de chaque chose, point de vue universelle. Il y a une pluralité indéfinie des belles choses. Si la beauté est relative a qui est-elle relative ? Est-ce que c’est ce qui nous plonge dans une beauté rayonnante. Kant : « Le beau donne à penser » la beauté est quelque chose qui nous arrête, nous étonne et nous plonge dans admiration questionnant et fait appel à exercice intellectuel. La beauté nous capte et nous captive.
L’art doit-il toujours mentir en faisant oublier son origine ? N’y-a-t-il de beau ce qui relève de la nature ou de l’art ? Si un paysage est beau parce qu’il semble agencé par l’esprit pour l’esprit ce que nous aimons dans beauté naturelle c’est de retrouvée quelque chose d’une pensée artistique. L’absolue du beau comment le penser ? Et le beau est-il relatif à une exigence de l’esprit ou à une manifestation de la nature ? Les canons de beauté changent-ils avec les sociétés et dans le temps ? y-a-t-il des révolutions radicales ? Est-ce que les changements ne sont que superficiels ? Comment penser rapport à la beauté à l’histoire ? Spinoza : « La musique est bonne que pour le mélancolique » quelle brutalité et inculture pouvait caractériser Spinoza avait accès à la beauté des choses mathématiques dans leur complexité. L’homme a-t-il toujours le souci du beau ? Le désintérêt ou l’indifférence à la beauté serait-il contraire à la nature de l’homme ? Platon : « Le beau est difficile », difficile à faire, comprendre, à justifier.
L’idée permet d’identifier par la règle et l’ordre. L’art est-il relatif à l’ordre, dépendance entre les éléments ? Soumis à l’organisation des éléments, n’y-t-il de beau que ce qui est ordonné et qu’est ce qui fait la différence entre