1) 2/ Les liens sociaux entre les apprentis sont caractérisés par un fort sentiment d’appartenir à un groupe. En effet, les objectifs de ces centres de formation du parti communiste sont essentiellement d’embrigader les élèves des centres afin de les ralliés constammentà l’idéologie du parti communiste. les enseignants tentent de former une jeunesse communiste, tout est fait en sorte pour que les élèves développent une culture de classe, celle imposer par le parti. On constate ceci dans la condition de vie des élèves des différents centres de formation, dans la volonté de réprimer « l’individualisme anarchoïde » et la présence constatant du « Nous » à la place du « Je » comme pour sensibiliser les élèves et les introduire à la cause communiste. Ainsi, les centres de formation ont pour but de forger le sentiment d’appartenir à une classe, à un groupe et les centres font en sorte d’entretenir ce sentiment d’appartenance à un groupe.
C’est donc la vie en communauté qui forge le lien social entre les membres des centres. Ainsi, les centres de formation montrent à leurs élèves qu’ils sont interdépendants les uns des autres. De ce fait, les enseignant leurs inculquent que les élèves ouvriers et bourgeois dépendent les uns des autres.
De plus, on constate au sein des centres de formation une certaine promiscuité du fait de l’entassement des élèves dans des lieux inadaptés pour l’accueille d’un grand nombre d’élèves, comme le l’a constaté l’inspecteur de la commission des écoles en visite à l’école fédérale de Bologne en 1947. (cf. page 195 « sous le microscope bolchevik »).
Cette promiscuité provoque des proximités physiques. Les gens dormaient dans des pièces où les lits se touchaient les unes des autres. Cette promiscuité témoigne de l’importance du collectif au sein du parti communiste italien. Cette proximité serait une valeur, un bien défendue par les communistes, retranscrit au sein de ces écoles. Ce confinement poussé à l’extrême serait une volonté du