Questions de culture g
L’Amérique est une terre de rêves. Au royaume de la démesure, le self-made man est roi. Malgré tous ces problèmes ; que ce soit sociaux avec le souci de l’intégration des hispaniques ; la guerre interminable en Irak, ou encore le déclin économique face à la montée en puissance du bloc asiatique, les Etats Unis reste le pays de la ruée vers l’or, où l’on peut réussir en ne partant de rien. C’est cette image, encore véhiculée par la puissance du cinéma américain, qui reste ancrée dans la tête de beaucoup de citoyens en quête d’un monde qui ne sera pas forcément meilleur mais où l’image de l’homme riche parti de très peu réussi à les faire rêver.
Y’a-t-il des critères de beauté ?
La beauté est certainement l’une des choses les plus subjectives au monde. De quelle beauté parle-t-on ? La beauté physique ? Dans ce cas il n’y a pas de critères de beauté, ce n’est pas mesurable, mais notre société nous impose des critères, nous prônant l’image d’une femme mince et d’un homme fort, au risque de mettre en péril sa santé. Les magazines, comme Elle ou Cosmo, dictent la façon d’évaluer une beauté, alors qu’au-delà de la beauté physique, la beauté intérieure est une valeur bien plus subjective et propre à chacun. La beauté est donc le résultat de plusieurs qualités et critères propres à chacun qu’on ne peut certainement pas mesurer.
Qu’entendre par mondialisation ?
Le terme même de mondialisation n’a plus la même signification au XXIe siècle. En effet, il y a cinquante ans ce terme était synonyme de globalisation des échanges dans un monde qui était aux prémices du développement technologique et économique qu’on lui connait aujourd’hui. Et c’est ici le changement qui entoure la mondialisation. Grâce aux nouveaux moyens de communication et à l’explosion d’internet, on peut parler d’une culture mondiale, en plus d’un marché qui ne se limite plus à nos frontières. Les rencontres se font par webcam, les achats se font sur des sites aux