Religion espace publics
A - Le signe qui cache la personne.
De là viennent les problèmes avec les photos d’identité, normalement exigées de face et tête nue, pour pouvoir réaliser des contrôles efficaces dans les mêmes conditions, de face et tête nue. Comment identifier à coup sûr les élèves ou étudiantes et les candidates aux examens tels que le bac, contrôles continus et concours, avec ce voile à géométrie variable, qui commence parfois au ras des sourcils ? Pour n’encourager ni les fraudes, ni le plus grand danger de la pénétration islamique, ce voile devrait disparaître à la fois des cartes d’identité et des salles d’examen, comme il devrait disparaître des lieux d’enseignement public ou quasi-public (privé sous contrat d’association). Le sénateur centriste Nicolas About avait déposé une excellente proposition de loi pour régler ce problème d’identification des personnes sans stigmatiser personne. Elle n’a malheureusement pas été examinée par le Parlement. La seule sécurité dans les établissements d’enseignement exigerait d’ailleurs qu’un contrôle des cartes d’élèves et étudiants, avec photos strictement conformes, soit effectué à l’entrée, comme cela se fait depuis plusieurs années dans les Universités, au moins pendant Vigipirate. C’est cette légitime exigence d’identification