Rien
[The New York Times] : Vous avez vécu à Maycomb, pouvez-vous nous en dire d’avantage sur cette ville ?
[Alain Robinson] : Bien sûr ! Maycomb est une petite ville d’Alabama, assez ancienne et où toutes personnes y vivant ce connaisse. J’y avais passé toute ma jeunesse dans cette petite ville. Je me rappel, malgré le peu de souvenir qu’il me reste, que par temps de pluie, les rues prenaient l’aspect de bourbiers rouges ; l’herbe poussait sur les trottoirs, et le palais de justice penchait vers la place. À Maycomb les étés étaient très chauds. C’était la belle époque où tout était encore beau à mes yeux.
[N.Y.T] : Habitez-vous toujours à Maycomb ?
[A.R] : Non, je suis parti pour étudier le droits, qui est très important pour moi.
[N.Y.T] : Pourquoi avoir choisis des études de droits ?
[A.R] : Par rapport à ce que j’ai vécu étant plus jeune et c’est aussi en lien avec mon père.
[N.Y.T] : Parlez-nous de votre jeunesse, de ce que vous avez vécu.
[A.R] : Quand j’avais tout juste 10ans, mon père Tom Robinson, avait été accusé de viol. Il avait sois disant violer une jeune femme de couleur blanche au nom de Mayella Ewell. Au départ, je ne pensais pas à la gravité des choses que mon père aurait peut-être faites, mais cela m’étonnerais. En effet, j’étais jeune et naïf, je pensais que tout était bon, que toute personne était bonne. Mais au fur et à mesure du temps qui passait, je compris bien vite que je me trompais fortement.
[N.Y.T] : Votre père avait-il été déclaré coupable de cette affront ? Avait-il eu un avocat ?
[A.R] : Oui, mon père avait été déclaré coupable du viol de Mayella, et il a été emmené en prison. Mais à ce que m’a