Rire
Les documents présentés sont ; un article de magasine diffusé en 2004 dans Label France écrit par P. Siankwski qui est intitulé « Peut-on rire de tout ? » , puis un article dans le Nouvel Observateur du 14 avril 2010 conçu par Jean-Gabriel Fredet pour une interview de Gaspard Proust : « Rire sans frontière » ;ensuite un article apparu dans Télérama le 31 décembre 2008 rédiger par Véronique Brocard et dont le titre est « Stéphane Guillon ou l’humour du risque » et enfin un dessin humoristique de Plantu dont la source est « Bonne année ».
Après avoir cerné le contexte du sujet « la liberté de rire et ses limites » le plan se définira en deux parties, d’une part : « apparemment le rire est totalement libre », et d’autre part : « pour autant malgré cette liberté il existe des obstacles que le rire contourne ».
I. Apparemment le rire est totalement libre
Le rire est un acte de liberté, une liberté d’expression garantie par la Constitution. Donc les humoristes peuvent rire de tous les sujets à condition d’être drôles. Même des sujets graves sont abordés comme par exemple les pauvres, le chômage, les personnalités politiques ou les difficultés économiques c’est que Pierre Siankowski nous définit dans son article.
Dans l’interview de Gaspard Proust : Rire sans frontière l’humoristique éprouve complètement cette liberté d’expression car il énonce que la scène lui donne tout les droit.
Ce comédien emploi des expressions assez provocante même injurieuse pour évoquer des sujets dont il parle lors de ces intervention devant le public (comme les handicapés, la sexualité…).
Stéphane Guillon lui lors de chronique à une totale liberté d’expression, et qu’il prend son rôle d’humoristique au sérieux est utilise un humour noir qui provoque son public.