Incipit français :

Cela fait maintenant des mois, des mois que la ville n'est plu. Les maisons sont détruites, brûlés...les flammes, on détruit tout sur leurs passages. Dans le ciel encore raisonne le son des avions, le sifflement des obus. Tout n'est que désolation et chaos, du haut des marches qui domine l'ancienne église, il regarde le paysage, des images défilent dans sa tête, des paysages ensoleillés, prospère maintenant disparu. Il entend vaguement des bruits de pas, ils sont nombreux, pourtant il ne fait pas un geste, immobile comme une statue.
On l'appel, alors il lance un dernier regard vers l'horizon et pivote se retrouvant face à des enfants, des enfants abandonnés, détruits, à genoux, le suppliant de les sauvés. Lui qui est leur roi, lui qui à promit de les protégés et qui devant ce massacre n'agit pas.
Pourtant lui Oedipe pense, réfléchit, ne comprend pas... alors qu'il est encore perdu dans ses pensés, il remarque la présence du prêtre au milieu des enfants, resté muet jusque lors, Oedipe regarde, le détail mais ne parle pas.

Prêtre : Entends-tu le crie de détresse, la misère que hurlent ses cœurs ? Ne comprends-tu pas notre détresse ? Ces enfants qui détruits, implore ta délivrance....
Oedipe : Je l'entends, chaque jours vos cris résonnes, un peu plus chaque jours tout se détruit.
Prêtre : Alors sauve-nous, sauve cette ville, ces habitants...trouve ce malfrat qui fut la cause de toute nos souffrances, trouve le et banni le, tue-le....ainsi tout rentrera dans l'ordre.
Oedipe : Je ne souhaite que ça, et je vous promets que je retrouverai et qu'il paiera le prix fort.
Alors qu'ils parlent un bruit sourd parvient à leurs oreilles, tout ce passe très vite, l'explosion la lumière et plus rien, Oedipe regarde horrifié cette scène. C'est ennemis qui attaquent sans relâche détruisant sa ville, ses habitants qu'il à décidé de protéger tués les uns après les autres. Il est de son devoir de les protégés...mais devant ce paysage, ce fléau que