La pièce de théâtre étudiée est Antigone par Jean Anouilh. Cette tragédie a été représentée pour la première fois le 4 février 1944 à Paris.

Au début de cette histoire, la nourrice trouva Antigone hors de son lit. Elle lui dit qu'elle était allée se promener dans le jardin. La nourrice la traita de menteuse car elle avait trouvé son lit froid plus tôt ! Antigone changea donc d'excuses et elle lui annonça qu'elle avait eu un rendez-vous. La nourrice lui fit la leçon et, pour la calmer, Antigone avoua que c'était encore un mensonge, elle ajouta qu'elle n'avait qu'un seul amour : Hémon.

Ismène, sa sœur, rentra et la nourrice sortit pour aller chercher quelque chose de chaud à boire. La sœur d'Antigone lui demanda si tout allait bien. Elles changèrent de sujet et parlèrent d'une chose qu'elles ne pouvaient pas faire : enterrer leur frère, Polynice. Antigone voulait le faire mais Ismène essaya de la raisonner pour la convaincre de ne pas se mettre en danger.

La nourrice entra avec le café et les tartines d'Antigone, elle senti qu'elle n'allait pas très bien. Elle rendit donc service à Antigone et lui promit de ne plus gronder sa chienne, Douce, et de lui parler pour qu'elle ne se sente pas seule. Hémon entra et la nourrice sortit. Antigone raconta vaguement l'histoire à son fiancé et lui demanda de ne pas poser de questions. Ismène revins, elle avait peur qu'Antigone tente à nouveau d'enterrer son frère. Mais celle-ci lui annonça qu'elle y était allée le matin-même...

Au même moment, le roi Créon reçu un des ses gardes qui s'occupait du corps de Polynice. Le garde raconta que le corps avait été recouvert d’assez de terre pour le cacher, il ajouta qu'ils avaient trouvé une pelle près du cadavre. Le roi les punit mais les laissa vivre à une condition : personne ne devait être au courant. Les gardes allèrent chercher la jeune Antigone, Créon la soupçonnait. Cette dernière se débattait et les gardes lui faisait mal. Ils discutèrent pendant qu'ils emmenaient la