Résumé le père Goriot chapitre 2

La premère semaine de décembre, Rastignac reçu deux lettres, l'une de sa mère et l'autre de sa soeur aînée. A la fin de cette lettre, Eugène était en pleurs car il repensait au père Goriot et se dit qu'il voulait renoncer au monde et ne voulait pas prendre cet argent. Puis un peu plus tard, un facteur des Messageries royales se présenta dans la salle à manger et il demanda monsieur Eugène de Rastignac auquel il tendit deux sacs à prendre et un registre à émarger. Mais Rastignac fut sanglé comme d'un coup de fouet par le regarde de Vautrin. Ensuite, les pensionnaires de la maison Vauquer furent des plaisanteries à Eugène sur son argent reçu. Eugène et Vautrin allèrent s'asseoir sur des sièges peint en vert dans le jardin pour pouvoir parler tranquillement. Puis Vautrin commença à parler de lui en disant qu'il était bon avec ceux lui faisaient du bien ou dont le coeur parle au sien. Qu'à ceux-là tout est permis, ils peuvent lui donner des coups de pied dans les os de jambes sans qu'il leur dises : Prends garde ! Vautrin lui dit que pour être un honnête homme il faut se taire et refuser de partager. L'idée de Vautrin est d'aller vivre de la vie patriarcale au milieu d'un grand domaine par exemple aux Etats-Unis, dans le Sud. Il veut y faire planteur, avoir des esclaves, gagner quelques bon petits millions à vendre des boeufs, du tabac, du bois, en vivant comme un souverain. Rastignac rentra dans la pension et le père Goriot lui dit s'il lui avait demandé si il connaissait les maisons où va madame de Nucingen. Et le père Goriot lui dit qu'il savait cela grâce à ses femmes de chambre : Thérèse et Constance. Rastignac après sa soirée avec madamde de Bauséant vint dans la chambre du père Goriot. Il entra pour lui dire qu'il avait vu madame de Nucingen aux Italiens, mais en voyant où il vivait il fut stupéfait. L'aspect de cette chambre donnait froid et serrait le coeur, elle ressemblait au plus triste logement d'une prison. Delphine se