sdafsdafsdf

396 mots 2 pages
La famille Rosenstock fait partie des 800 000 personnes juives recensées à qui le code civil en vigueur, à l'époque, interdit la citoyenneté roumaine. Élevé dans une certaine aisance matérielle grâce à son père qui est cadre dans une société d'exploitation pétrolière, Samuel connaît une enfance et une adolescence sans histoires. Il suit un cours sur la culture française dans un institut privé, s'éveille à la littérature au lycée Saint-Sava et s'inscrit en section scientifique pour le certificat de fin d'études au lycée Mihai-Viteazul. C'est un bon élève et ses professeurs notent son ouverture d'esprit et sa curiosité intellectuelle infatigable1.

La littérature roumaine du début du xxe siècle est fortement influencée par le symbolisme français. La revue Literatorul d'Alexandru Macedonski, tout en proposant des poèmes de Charles Baudelaire, René Ghil, Maurice Maeterlinck ou Stéphane Mallarmé, n'en combat pas moins la tradition romantique. Avec son camarade de lycée Marcel Janco, Samuel crée, en 1912, sa première revue, Simbolul, qui transpose en roumain les acquis du symbolisme, notamment de Maeterlinck, Laforgue et Verhaeren2. Il s'imagine en « ange noir du symbolisme triomphant ». Il y publie l'un de ses premiers poèmes, Sur la rivière de la vie.

En 1915, il adopte le pseudonyme de Tristan Tzara : Tristan en référence au héros de l'opéra de Richard Wagner, Tristan et Isolde, et Tzara parce que cela signifie « terre » ou « pays » en roumain3.

Tristan Tzara ne déteste pas « choquer le bourgeois ». Il fait paraître dans diverses revues des poèmes comme Les Faubourgs, où il évoque l'« ouragan dévastateur de la folie », ou bien Doute, qui insiste sur le rôle du hasard dans la création poétique : « J'ai sorti mon vieux rêve de sa boîte, comme tu prends un chapeau / Le sommeil est un jardin entouré de doutes / On en distingue pas la vérité du mensonge. »
Il se passionne pour l'œuvre d'Arthur Rimbaud, fait des Galgenlieder (Les Chants du gibet) de Christian

en relation

  • Sdcfd
    509 mots | 3 pages
  • Sdfg
    365 mots | 2 pages
  • Fgfsdfsd
    270 mots | 2 pages
  • Dfdsfdsfsdf
    766 mots | 4 pages
  • fsdfsdff
    334 mots | 2 pages
  • Sdfsdfgdfgdfg
    809 mots | 4 pages
  • ffdsdfsfds
    297 mots | 2 pages
  • Sdfg
    445 mots | 2 pages
  • Dsfsdf
    916 mots | 4 pages
  • Sfsdf
    476 mots | 2 pages
  • Sdfg
    525 mots | 3 pages
  • fdsfsdf
    695 mots | 3 pages
  • Sdfdsg
    253 mots | 2 pages
  • Fdfsdfsdfs
    397 mots | 2 pages
  • sdfsdfsdf
    277 mots | 2 pages