L’AMOUR OU LE SAVOIR

Ses cheveux d’ors bouclés, s’emmêlaient dans le souffle du vent. Les flammes dansaient sr un air de flûte traversière que jouait Tchang. Cet adolescent âgé de 16 ans était très indépendant. Tchang était le seul asiatique au monde, certainement, blond. Ses parents étaient tous les deux japonais ainsi que toutes sa famille, ce phénomène en devenait si étrange que toutes les nuits Tchang sortait se poser sur le sable doux de sa mer pour y méditer. Je ne parle pas de la maman mais plutôt la mer M-E-R contenant de l’eau qui était son berceau depuis son innocente enfance. Son père est mort dans un accident d’avion et sa mère dans un accident de voiture ; ce qui faisait que Tchang ne supportait pas d’être dans les airs pas plus que sur la Terre. Il était ce qu’on pouvait appelé un jeune adulte plongé dans la solitude la plus profonde qui existe dans ce monde. Mais cela ne le dérangeais pas plus que de dire 2 +2=4(adorant les maths).Son grand-père, modeste marchands de litchis, s’occupait de Tchang. Mais il en avait assez qu’on le charrie à cause de ses boucles dorées. Il décida de prendre le large avec le bateau de son grand-père. Il lui laissa un bout de parchemin à moitié déchiré sur la table de la cuisine :
« Grand-père, e ne supporte plus le départ précipité de papa et maman. Peut-être que leur mort a un lien et je pars pour le découvrir. Aussi la raison de mon départ est que je voudrais découvrir l’origine de mes misérables cheveux d’or qui ne sont pas comme vous autres, braves japonais.
Je t’embrasse très, très fort.
Ton bien-aimé : Tchang. »
Il était triste mais c’était sa destinée. Il prépara le voilier de son tuteur, le mis à l’eau, sauta dedans, s’apprêta à partir quand au loin une géante silhouette se dessina dans les tempétueux éclairs. Il vit une forme noire précise : des sirènes aux dents pointues. Il eut un peu peur mais rien ne pouvait le dissuader de partir. Il s’en alla enfin. Partir sous ce temps était déconseillé mais il