II- La nature 1) Une nature omniprésente 2) Une nature immuable 3) Une nature ayant 2 visages

1)
La nature est un des grands thèmes du romantisme. Dans ce poème, on retrouve très souvent le champs lexical de la nature: « Soleil, eaux, nuées… » La nature est omniprésente car on voit les 3 constituant d’une planète : la terre « forets », l’eau « mers » et l’air « les nuées ». Le poème commence par « le soleil » ce qui nous montre la grandeur ainsi que la présence de la nature représenté par le soleil. Le titre du poème nous annonce directement que la nature sera l’un des thèmes principaux. La nature est donc omniprsente tout au long du poème.
2) Cette nature très présente se régénère au cours des années. La strophe 3 est constitué que de rejet : « et le front des montagnes, ridées et non vieillis » afin de nous montrer que cette nature est immuable. L’antiphrase au vers 10 « ridés et non vieillie » ainsi que l’oxymore du vers 11 « s’iront rajeunissant » cherche à montrer que le temps passe mais que cela n’a aucun effet sur la nature. La nature se régènère et donc immuable.
3) Cette nature est représentée de plusieurs manières tout au long du poème. Les anaphores : « puis l’aube…Puis les nuits… » « Sur la face… » permettent d’accentuer la beauté de la nature. Le champ lexical de la beauté est présente : « nuées, clartés, non vieillis, soleil joyeux, monde immense et radieux ».
Mais cette nature possède un autre visage. Le poète pense que les forêts sont un lieu dans lequel on trouve des morts : « les forets ou roule comme un hymne confus des morts. » Il y a un contraste entre clarté et vapeur obstruées.
L’énumération avec la répétition du sur : « sur la face des mers… » nous montre que la nature possède plusieurs faces : les montagnes, les mers…

Le poète décrit donc la nature de manière mélioratif mais aussi de manière